Une enquête bien pensée sur le meurtrier Jack l’Eventreur dans l’Angleterre des années 1800. Immersif et intelligent.
Le pitch ?
L’histoire se passe en 1888, à l’époque où Jack L’Eventreur sévit sans relâche dans les rues de Londres. Afin de démasquer le tueur en série, Herbert Greville, gentleman anglais, décide de réunir une équipe d’enquêteurs en qui il a confiance : Arthur Conan Doyle (célèbre dramaturge qui créa Sherlock Holmes), George Bernard Shaw (directeur de théâtre), Bram Stoker (auteur de Dracula) et Mary Lawson (l’une des premières femmes médecin). Chacun de leurs rendez-vous secrets leur permet de remonter un peu plus le fil de l’histoire…
Et "Le Cercles de Whitechapel", ça donne quoi ?
Très belle pièce !
Costumes, décors, accessoires : tout est là pour nous plonger dans l’Angleterre des années 1800. Et c’est particulièrement réussi ! La mise en scène est ingénieuse, l’histoire est bien menée, tandis que le suspense est à son comble tout au long de ce huis clos intelligent. Le tempo est dynamique, et le spectateur passe du rire à l’angoisse en moins de deux.
Le tout est servi par de très bons comédiens, qui nous font voyager dans le temps avec brio. Bref, rien n’est laissé au hasard, pour notre plus grand plaisir !
Pour qui ?
Les amateurs d’enquêtes, assurément !
Le petit + ?
Le décor, travaillé dans les moindres détails. On peut passer la pièce à l’observer tant il est beau et réussi.
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Et "Le Cercle de Whitechapel", ça joue où ?
Le Lucernaire, Paris
Du 16 décembre au 16 janvier
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